On ne parlera pas de monstre à deux têtes, car il n’y a rien de monstrueux dans une équipe qui commence la nouvelle année comme elle avait terminé la précédente: en gagnant. En ne doutant pas – peu – sur la glace, en faisant corps dans les moments difficiles, alors qu’en coulisses on ne parle que de clans. D’intérêts. De finances (pas saines), de promesses et de projets (qui n’avancent pas).