La dynamique du match d'hier était très bizarre, un peu comme celle qui anime le club cette saison (à cause d'Hugh Quennec).
Le premières minutes comme les premières rencontres de 2017 étaient plutôt bonnes quoiqu'un peu décousues mais presque prometteuses (pas comme quand on songe à l'avenir avec Hugh Quennec). On espère être toujours au-dessus de la barre quand il sera l'heure de faire les comptes (ce que ne sait pas faire Hugh Quennec).
Le jeu n'est pas d'une grande qualité mais "pour le moment, tout va bien" (comme dirait un certain président que nous ne citerons pas par respect de confidentialité).
La première pause arrive et là, c'est le drame. La défense s'endort (comme le comptable engagé par HQ). De largesses défensives en pénalités stupides, la facture s'allonge (vous me voyez venir : un peu comme celles non payées par El Presidente).
Pour la comparaison, c'est comme les défaites déprimantes contre les excellents Langnau ou Ambri en octobre-novembre, où la dévotion n'était pas ce qui frappait (un peu comme dans le travail du Canadien sus-nommé).
Et puis le soleil revient, les joueurs se battent (eux). Par Richard puis Wick, le GSHC remonte la pente (ce qu'on espère).
Malheureusement, les problèmes (comme les dettes) reviennent toujours et Genève retombe dans ses travers (comme Q pour ce qui est de couler des clubs genevois). Bien trop rapidement, Genève accuse un déficit de 6 millions, pardon, 2 buts.
Mais le Genève-Servette n'est pas mort, et les joueurs le prouvent encore une fois. À l'instar de la fin de 2017, en fin de match, Genève est allé chercher des points au combien importants pour la suite de la saison (si suite il y a, merci HQ).
Le dénouement est cruel pour les guerriers genevois. C'est un vieux rebond qui vient battre Mayer sur le penalty victorieux. On se dit alors que, comme pour cette saison, si la chance avait été de notre côté : si les joueurs avaient pu se concentrer que sur la glace (et pas à chercher un autre club), on aurait pu aller chercher les 3 points hier et une meilleure place au classement cette saison.
Je m'acharne peut-être, mais comme dans le fameux jeu du Président, on peut passer de président à trou du cul très rapidement. Parfois, il vaut mieux arrêter de jouer quand on est encore président pour essayer d'éviter que tout le monde se souvienne de vous comme d'un trou du cul.
Les bières

Tanner Richard

Henrik Tömmernes

Romain Loeffel

Hugh Quennec

Jeremy Wick
