Résumé / Présentation
Goran McKim, mer 19/12/2012 - 00:00

La période se prête plutôt bien à une version made in 1905.ch de ce film de légende.

 

Au départ de Genève, on retrouve un car de touristes prêt à aller passer quelques jours sympathiques dans les Grisons. A son bord, il y a Goran, Daniel, Dan, Kevin et Popeye. Popeye, c’est le playboy de l’équipage, celui qui se tape qui il veut, et surtout quand il veut. Et à ce stade là de l’article, nul doute que vous avez déjà compris qui est le Popeye en question.

 

Arrivés dans la station de Davos, lieu de tournage préféré à Val d’Isère pour des raisons évidentes, nos joyeux lurons retrouvent leurs copains de l’année passée, parmi lesquels Reto « El burracho », Peter « le facteur », le célèbre GeLOLi, qui fait rire tout le monde, et surtout Jean-Claude. Jean-Claude, vous le connaissez tous, ce vieux loser convaincu de se taper tout ce qui bouge mais qui bouge surtout quand on le tape.

 

En soirée, et tel que le veut la tradition dans ce genre de clubs de vacances, deux jeux sont organisés. Ce soir, deux équipes doivent se former et, sur une durée de 60 minutes, s’affronter pour gagner le droit de rentrer avec la miss de la soirée : Mademoiselle 3 points.

 

Au terme d’un combat acharné, animé de façon catastrophique par le préposé aux commentaires mais se disputant dans un bon esprit grâce à, pour une fois, un arbitrage presque exempt de tout reproche, ce sont Popeye et ses amis qui sont repartis avec Mademoiselle 3 points. Pourtant les Jean-Claude n’ont pas démérité, mais comme à leur habitude, ils pensent que « ce soir, ils vont conclure » et se retrouve le bec dans l’eau et la main dans le caleçon.

 

Durant ce jeu, un certain nombre de scènes cocasses ont eu lieu. Et comme nous ne reculons jamais devant rien, nous avons réussi à en obtenir les dialogues.

 

Nous avons par exemple pu voir Forster chauffer Bezina, ce qui donna lieu à l’échange suivant :

 

Forster : Je sais pas ce qui me retient de te casser la gueule...

 

Bezina : La peur peut-être ?

 

Forster : Ouais, ça doit être ça !

 

Nous avons également eu la « chance de voir Roland Gerber jouer défenseur, ce qu’il ne sait que moyennement faire :

 

Stephan : Tu m’aides pas là ?

 

Gerber : Non pas là non...

 

Durant une des pauses, dans le vestiaire des Jean-Claude, on a pu entendre ceci :

 

Del Curto : Quel est le plus grand défaut de Vukovic ?

 

Von Arx : Il ressemble à Rooney !

 

Del Curto : Ça n’a rien à voir avec le hockey !

 

Durant cette même pause, les coach des Jean-Claude semblait énervé contre l’un des siens :

 

Del Curto : Je ne vous met pas mon poing sur la gueule, je pense que ce n’est pas nécessaire ?

 

Hoffmann : N...n...non.

 

Roland Gerber toujours, que le rôle de défenseur semble effrayer :

 

Gerber : J’y vais, mais j’ai peur !

 

Dans les gradins aussi, les discussions vont bon train.

 

Le genevois : Bon, dans une demie heure je nous considère comme définitivement perdus.

 

Les supporters avaient d'ailleurs faim, et lors que l'un de ceux-ci voulut commander une crêpe au sucre, la serveuse s'y est refusée. Et le supporter de rétorquer :

 

Vous avez de la pâte ? Vous avez du sucre ? Avec la pâte, vous faites une crêpe et vous mettez du sucre dessus !

 

Rivera, comme à son habitude, prendra ses deux minutes bêtes. Il tente quand même de s’en expliquer auprès de l’arbitre :

 

Rivera : J’ai pas touché le joueur je l’ai ripé. On ne parle pas de ce qu’on ne connait pas. Mais qu’il est con aussi celui là !

 

Dépité à l’heure d’aborder le 3ème tiers, Del Curto s’adressa ainsi à ses ouailles :

 

Écoute Jean-Claude... J’crois que toi et moi, on a un peu le même problème ; c’est qu’on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi. Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c’est oublies qu’t’as aucune chance, vas-y, fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher...

 

A la fin du match, les Jean-Claude demanderont quelques conseils aux Popeye :

 

Thornton : Et comment vous faites entrer le... puck à l’intérieur ?

 

Keller : Et bien, on le fait tourner... comme ça il devient tout fin. On le rentre dans le but, et après, avec l’humidité, il gonfle.

 

Picard se chargera lui de rassurer son adversaire d’un soir :

 

Vous savez ce qui va pas monsieur Sykora? C’est le frappé du palet !

 

Sur le ton de la plaisanterie, Marha demandera à Stephan s’il avait une idée de pourquoi les Jean-Claude n’avaient pas gagné ce soir. Devant sa réponse négative, Marha rétorqua :

 

Marha : Just because of you

 

On peut d’ailleurs dire qu’heureusement que Davos a loué la patinoire la semaine prochaine, parce que eux ils ont acheté cet appartement du 15 au 30, si tout le monde dépasse d’une demie journée qu’est ce qu’il se passe ? l’année prochaine ils font la Spengler au mois de juillet !

 

Et pour conclure, à l’heure d’aborder le long retour en car, Popeye et ses amis n’avaient qu’une question en tête :

 

Quand te reverrais-je ? Pays merveilleux !

Les bières

Tobias Stephan

Comment pourrait-on décemment faire autrement ?

Ryan Keller

Son magnifique but devrait lui permettre de retrouver la confiance, et rien de tel qu’une bonne bibine pour s’en féliciter !

Alexandre Picard

Le game winning goal pour lui, qui commence gentiment à faire des points et non plus des poings.

Roland Gerber

Le crapaud pour lui, le crapaud !

Julian Walker

En retrait ces derniers matches, il a continué sur sa mauvaise lancée.

Christopher Rivera

Une pénalité bête et un face à face raté à un moment crucial. Heureusement sans conséquence.