Résumé / Présentation
Tony Vukovic, dim 06/03/2016 - 15:34

Après une première bataille un peu fade, nous avons enfin le premier vrai duel pour la suprématie du royaume de Romandie.

 

Dans cette guerre sans merci, deux armées s'affrontent. D'un côté les valeureux Grenadiers Stratèges Hardis et Courageux et de l'autre les Honorables Combattants Fermiers Gaillards. Tous se battent pour pouvoir se proclamer maitre du territoire Suisse de l'Ouest.

La guerre fut déclarée il y a peu mais pour le moment les affrontements furent pour le moins timides. L'armée des Grenadiers Stratèges décida de venir attaquer le fief des Fermiers Gaillards, la grange de St Léonard.

Les Grenadiers arrivèrent là-bas la fleur au fusil, en se disant qu'en deux coups de cuillère à pot la bataille allait être poutzée. De stratège ils n'avaient que le nom car par deux fois les soldats prirent des choix discutables, notamment l'appointé Traber.

Ces deux erreurs les firent reculer de deux bonnes lieues bien trop rapidement. Ce qui fit le bonheur des Fermiers locaux. Mais la bataille ne faisait que commencer.

 

La routourne a failli tourner un peu plus tard, quand le caporal Abplanalp et le sergent Rathgeb se perdirent dans la forêt en cherchant le front. Une brèche était alors apparue dans les rangs des Gruyériens. Le colonel McSorley alla même jusqu'à utiliser un 6ème bataillon pour revenir à une longueur mais rien n'y fit, les soldats n'étaient pas assez organisés.

 

La situation empira même quand la sous recrue Schilt revint de sa miction en enflammant le camp genevois. Il y avait le feu dans la maison et l'armée Grenat dû reculer encore.

Le combat n'allait pas rester dans les annales avec un niveau pareil. A ce moment, on pouvait difficilement présager de ce qui allait se passer quelques lunes plus tard. On ne voulait pas imaginer les conteurs raconter une triste défaite.

 

Les combattants genevois commencèrent alors à retrouver des couleurs. Plusieurs escadrons arrivèrent proches du but en pénétrant les lignes ennemies mais même avec un poil de chance, rien n'y faisait.

C'était sans compter sur le jeune sergent Wick qui profita d'un aide de son collègue Loeffel pour faire avancer les positions Grenats d'une bonne lieue.

Forts de cette victoire, le soldat de la légion étrangère Slater, laissé seul, pu aller remporter une seconde longueur de terrain. L'espoir revint de plus belle, la citadelle de St Léo était en vue.

Les armées étaient au coude à coude et l'armée Grenat et Or n'arrivait pas à continuer sur cette lancée et petit à petit la victoire semblait se dessiner pour les chevaliers Noirs.

Le glas semblait même entre sonné quand la compagnie du major Bezina partit complètement à l'Ouest. Et bien non, le lieutenant Romy montra qu'il n'était pas Jo le rigolo en allant crucifier le malheureux Conz. Les Genevois exultèrent, ils étaient plus proches que jamais de la victoire.

 

Le dernier affrontement fut le plus intense de la bataille. La tension était palpable dans les rangs des deux armées. C'était à celle qui fera la première erreur et ce fut les Fermiers.

Romy parvint à passer derrière les lignes ennemies pour ensuite aider les soldats Kast et Jacquemet à définitivement remporter la bataille. C'était l'hystérie dans le camp Genevois alors que les Fribourgeois avaient l'air de cornichons salés.

Superbe succès des Genevois qui prennent l'avantage dans cette guerre.

 

Pensées pour Rubin chargé à la tête, bon rétablissement.

Soulignons ce changement de mentalité et d'énergie qui les amena à cette réussite et buvons à leur santé !

Les bières

Kevin Romy

Après quelques matchs sans être vraiment tranchant, il revient et donne la victoire à Genève grâce à deux actions cruciales

Romain Loeffel

Relance l'équipe en amenant le premier goal et donne le puck de la meilleure manière pour le 3-3

La mentalité

On sent que l'équipe s'est fait sonner les cloches à la première pause, ce qui l'a mise en mode playoffs, et on adore ça ! Bravo à toute l'équipe !

Tim Traber

Des pénalités évitables qui coûtent cher et ce qu'il apporte est encore à définir

Julien Sprunger

Parce qu'on aura plus l'occasion de lui en donner jusqu'à la fin de la série

Sebastian Schilt

Pour lui faire pousser des neurones, même si sur Mottet ça ne marche toujours pas