Résumé / Présentation
Tony Vukovic, mer 17/02/2016 - 11:16

Compte tenu de la disette  d’hier soir, la comparaison est logique avec le groupe de personnes qui tiennent 40 jours en ne mangeant presque rien sur une île déserte.

 

Dans cette aventure, ce sont deux équipes qui s’affrontent, les jaunes de l’île de Davos contre les rouges.

 

Dès le départ, on sent que l’équipe rouge a bien du mal à suivre le rythme dicté par les jaunes. Ils perdent d’entrée la première épreuve ce qui les condamne à écouter une musique horrible pendant quelques instants.

 

Les jours qui suivent ne sont guère plus réjouissants. Les aventuriers de l’île de Genève ne parviennent pas à trouver de la nourriture. On les sent distraits et les tentatives infructueuses sont nombreuses.

 

Mais, juste avant la deuxième épreuve, ils tombent sur du manioc. Tout le monde pense que cela leur permettra peut-être d’égaliser en remportant l’épreuve mais non et les jaunes peuvent célébrer leur deuxième victoire d’affilé.

 

Les rouges vont au conseil et c’est Loeffel est qui écarté de son équipe (temporairement). Mais ce triste départ permit encore aux jaunes de profiter des faiblesses rouges pour gagner une 3e épreuve.

 

Quelques jours plus tard, la chance sourit enfants aux Genevois. Alors qu’un jaune était occupé ailleurs, Rubin, bien aidé par Simek, a pu allumer la vasque et gagner le feu. Enfin une victoire ! Et si la routourne était en train de tourner ?

 

Les rouges sont alors emplis d’une énergie venue de nulle part pour la première fois de l’aventure. Ils se disent que la chance va enfin leur sourire, alors ils partent chercher des ressources les yeux pleins d’étoiles.

 

Ils sont partis si loin que quand l’épreuve arriva, seuls deux clampins étaient présents et la victoire fut facile pour les Davosiens.

 

Ce cadeau des rouges donna encore 2x plus d’énergie aux jaunes, déjà qu’ils n’en manquaient pas. Les rouges n’ont pas le totem qui leur amène la fortune et cela se voit. Ils sont très proches de revenir dans la 6e épreuve, celle de l’orientation. Ils ont même une belle occasion d’en remporter une deuxième, mais non. Le chef d’équipe aligne les aventuriers pas forcément les plus adroits et c’est la victoire des jaunes quelques instants après.

 

Les poteaux sont une formalité et évidemment remportés par les jaunes.

 

Les Davosiens ont quand même du cœur, ou de la pitié, ils ne veulent pas gagner la toute dernière épreuve pour remporter le jeu 7-1 mais empochent quand même les 3 points promis aux vainqueurs.

 

On sent que les 40 jours de jeûne ont pesé sur les organismes rouges (comment ça ils n’ont pas joué depuis 10 jours ? ah.)

 

La correction est sévère, mais c’est la loi de la jungle quand on veut être l’ultime équipe survivante. Leur niveau était indigne de leurs ambitions.

 

C’était un mauvais match mais on se ressaisit. Il ne reste plus que 4 matchs avant les playoffs ! Et Santé !

Les bières

Daniel Rubin

Plus pour embêter Goran McKim que parce qu’il a vraiment été décisif. Il a marqué le seul goal de la soirée et ça suffit pour être le « meilleur »

Les Geneva Wild Eagles Cheerleaders

Pour une fois qu’elles étaient en rythme. Elles étaient bien plus à leur affaire que les autres gens qui sont passés sur la glace

Les IG

Pour avoir tenu jusqu’au bout en chantant malgré le suspens mort depuis le 4-1. Mention spéciale à Mayer qui était le seul qui se battait encore pendant les 10 dernières minutes

Tim Traber

Il est plus inutile sur la glace que dans les tribunes, une prouesse. Faudrait essayer de l’échanger contre Calvin

Matthew Lombardi

Et Tom Pyatt, très en dessous de ce qu’on attend d’eux. Il faut qu’ils se réveillent pour les playoffs

Daniel Vukovic

Et Goran Bezina. Représentatifs du manque d’énergie et de précision de l’équipe ce soir