Résumé / Présentation
Tony Vukovic, mer 30/11/2016 - 09:48

Cette formule illustre assez bien le froid actuel mais aussi la situation du club. La comparaison n'est pas sur la gestion du club en lien avec la politique de Westeros (quoique) mais surtout pour exprimer que c'est un peu compliqué actuellement…

Vous connaissez sûrement la série qui voit évoluer Jon Snow et sa bande mais même si ce n'est pas le cas vous n'aurez aucun problème à comprendre ce qui va suivre.

 

Nous retrouvons donc nos héros, les hommes de la garde de Nuit, euh pardon, du grenat qui sont censés protéger le royaume de Westeros, ou Genève suivant les versions. Ces hommes qui n'écoutent que leur honneur et leur devoir, se battent pour repousser les assauts de l'armée des marcheurs blancs qui détruit tout sur son passage.

Point commun avec la série, la garde est composée de tout un tas de personnes pas forcément à leur place, on n'a pas toujours le luxe de choisir ses hommes. Mais tous ont le désir de pourfendre cette terrifiante armée qui vient du Nord et amène le froid avec elle.

Les gardes ont l'habitude de se protéger derrière le Mur, le Mayer jamais construit, mais voyant le combat qui les attend, rien ne présage qu'il résistera…

 

Les premiers assauts commencèrent dès l'aube, alors que les soldats n'étaient qu'à peine réveillés. Un soldat mis le feu à la réserve de flèche ce qui créa une faille qui, évidemment, profita à l'ennemi.

Les combattants peinaient à évoluer dans cet environnement glacial dans un silence bien trop pesant. Malgré leur supériorité numérique, les hommes semblent gelés et avoir l'esprit endormi par le froid.

On pense que ce ne sera pas possible de reprendre l'avantage et de sauver le royaume tant la stratégie offensive est inefficace. Mais quelques sursauts laissent encore une lueur d'espoir.

 

Après plusieurs heures de batailles, les gardes de Nuit parviennent à reprendre le terrain perdu par une percée à coups de Verredragon dans les bataillons ennemi de Jon Šimek. C'est une grande surprise qui réchauffe un peu le cœur de nos compagnons d'infortune.

Cependant rien n'est fait concernant l'issue de cet affrontement. Les assauts des marcheurs se font de plus en plus appuyés et l'on craint que le Mur ne suffise plus à les arrêter.

La journée se termine avec un bilan nul. Il y a des pertes des deux côtés mais aucun camp n'a pris l'avantage. Il va falloir continuer pendant la nuit…

 

Les hommes sont de plus en plus fatigués. Les déplacements sont lents, les lames émoussées. C'est à se demander si ces hommes ne deviennent pas des blocs de glace. Mais leur honneur les fait tenir bon.

Voulant protéger ses hommes, le Lord Commandant McSorley proposa un duel un contre un avec le maître de la Nuit pour déterminer le camp vainqueur. Ce fut une erreur car le duel tourna court et en quatre coups d'épée, le Lord Commandant vit sa tête coupée et les marcheurs blancs escalader le Mur pour venir envahir le royaume…

 

Si seulement il y avait eu des hommes mieux formés pour composer cette garde. Si seulement les dirigeants du royaume se concentraient plus sur sa protection plutôt qu'à la politique des sept couronnes, peut être la Garde de Nuit retrouverait sa grandeur.

Courage, car la saison est sombre et pleine de terreurs, prions la mère pour la miséricorde et pour atteindre les playoffs…

Brace yourself, Winter is coming.

 

 

Et comme dirait Tyrion, Santé !

Les bières

Robert Mayer

Il garde l'équipe dans le match et maintient l'espoir d'une victoire prochainement mais il faudra travailler encore les pénaltys…

Juraj Šimek

Il a réussi à remettre l'équipe sur les rails alors que tout semblait contre eux en marquant ce goal à 4 contre 5.

Jeremy Wick

Il s'est créé beaucoup d'occasion grâce à un bon forchecking, malheureusement il n'a pas réussi à les mettre au fonds.

Le power-play

Touche le fonds et creuse encore. Moins de la moitié du temps en supériorité numérique passé en zone offensive, pléthore de passes ratées et une vitesse absente. Parfois on aurait cru que l'annonceur s'était trompé d'équipe en annonçant la pénalité.

Les relances

Après le record de match avec GSHC pour Mercier et le record de la pénalité la plus rapide pour Loeffel, le record de pucks perdus bêtement en relances hasardeuses entre les dégagements interdits et les passes directement à l'adversaire.

L'attaque

On se dirige tout droit vers la pire attaque du championnat. Rien à ajouter.