Depuis 1993, seules sept équipes ont renversé une série après avoir été menées 2-0. Les Aigles font face à un défi compliqué
Depuis 1993, seules sept équipes ont renversé une série après avoir été menées 2-0. Les Aigles font face à un défi compliqué
L’entraîneur des Aigles a bouleversé son équipe au-delà du raisonnable. Les Grenat sont menés 2-0 par un Berne qui n’a même pas forcé
Selon son coach, Sébastien Beaulieu, le portier du GSHC a vite oublié ce tiers cauchemardesque à Berne. À vérifier ce soir à Genève
Pour Ge/Servette, les play-off n’ont pas encore commencé. Les Aigles ont été dévorés sans réagir dans la capitale. Les voilà sous pression
À Berne, il ne laisse personne indifférent. Tous ceux qui l’ont croisé dans les gradins samedi, entre deux tiers, lui ont serré la main ou lâché un mot sympa alors qu’il était assis en place de presse. «Chris McSorley est tellement malin et si fort pour perturber un adversaire qu’il est impossible de rivaliser avec lui.»
Craig Woodcroft, coach de Ge/Servette, s’attend à une longue série très physique face au champion. Ses Aigles sont prêts
Mal rasé, les yeux tirés, les cheveux en bataille, prêt au combat: c’est à croire qu’il a déjà adopté le look «play-off», Craig Woodcroft. «Mais rassurez-vous, il n’y a rien de prévu, je ne vais pas me teindre en blond ou mettre une perruque grenat!» Ce n’est pas le genre de l’entraîneur de Genève-Servette qui a hâte, comme ses Aigles, que cela commence enfin. C’est un coach détendu et plutôt très confiant qu’on a rencontré au terme de l’entraînement.
Quand il a débarqué dans la capitale, le club était proche de la faillite. Marc Lüthi en a fait la référence en Suisse. Il nous explique son secret
Capitaine des Aigles, Kevin Romy est convaincu que Ge/Servette va se souder et se sacrifier en équipe pour éliminer Berne
Avec sept titulaires au repos (un seul étranger), les Aigles s’offrent un dernier succès avant de passer enfin aux choses sérieuses
L’Aigle retrouvera Berne en play-off. Le duel sera plus serré que ne le laisse croire le classement. La série pourrait bien faire des étincelles
Coup de projecteur sur les hommes de l’ombre qui patinent en infériorité numérique. À Langnau, ils ont été brillants et décisifs