Indisciplinés, les Aigles n’ont rien montré hier. Chris McSorley va devoir très vite réveiller ses hommes
Après la claque reçue samedi face à Davos, Jonathan Mercier entend bien remettre les pendules à l’heure ce soir à Lugano
Jonathan Mercier préfère en rire plutôt qu’en pleurer. Amer et avec le moral loin d’être au beau fixe, le défenseur de Ge/Servette n’a toujours pas digéré la claque reçue samedi soir aux Vernets face à Davos (1-7). Une fessée monumentale. Le Genevois a du mal à cacher sa déception. Du coup, il manie l’ironie afin d’enfouir ce gros sentiment de honte qui l’habite.